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Géographie Sauvage 

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Géographie sauvage, What we leave behind

Une série en mouvement

Géographie Sauvage – What we leave behind est un processus en cours. Il réunit un ensemble de photographies, dessins, cartes, manipulations plastiques et fragments visuels que je travaille depuis plusieurs années. Je n’en montre ici qu’une sélection, volontairement resserrée : l’ensemble du corpus est vaste, mouvant, traversé de temporalités multiples.

Ce que nous laissons derrière nous

Ce projet questionne les traces — matérielles, symboliques, sensibles — que nous laissons derrière nous.
Il parle de mon rapport au monde en tant que femme, de ce qui fait mémoire du corps, mémoire du lieu, mémoire du féminin.
Certaines traces sont partagées, d’autres singulières. Toutes constituent un territoire vivant et changeant.

 

Fragments et métamorphoses

Dessins, “cartes menstruelles”, collages, cyanotypes, photographies : chaque élément agit comme une peau déposée, un geste de passage. J’explore ici la lenteur, la répétition, la superposition, la perte, l’effacement.
La photographie argentique est centrale : sa matière fragile, sensible, réagit à la lumière, à la main, au temps.
Je la manipule — la déchire, la décale, l’ouvre — pour faire surgir de nouvelles formes, comme un langage en constante mutation.
Ces altérations plastiques accompagnent mes propres transformations intérieures.

 

Corps & territoire

Dans ce travail, le corps et l’espace sont pensés comme des lieux géographiques : des métaphores de l’identité, des surfaces de contact entre l’intime et le collectif.
Je m’inspire ici des travaux de géographes comme Guy Di Méo, qui considèrent le corps comme un “espace générateur d’espaces”,
à la fois organisme vivant, archive du social, du genre, du territoire, et lieu d’incarnation symbolique.

 

Une poétique du Sauvage

Le sauvage, dans cette série, n’est pas à comprendre comme le contraire du civilisé. Il renvoie à l’âme, à ce qui en nous résiste, palpite, pressent.
C’est ce qui nous relie à notre intuition profonde, à la danse, au souffle, au chant, aux mots qui viennent. Clarissa Pinkola Estés en parle comme d’un lieu de retour à soi, de puissance ancestrale, de poésie vivante.

 

Un geste de réappropriation

Géographie Sauvage est une tentative de réhabiter les images, les mémoires, les récits.
Une manière de redonner du corps à la photographie, de faire apparaître ce que l’œil seul ne voit pas.
Un travail qui s’écrit avec lenteur, au fil des cycles, des saisons, des déplacements — comme un chemin de retour vers soi.

 

Ce travail est prêt à être exposé. Il s'agence en fonction de l'endroit où il est exposé. 

This work is ready to be shown. It can be arranged according to the location. 

Vues d'expositions - Exhibitions views :

Galerie L'Aberrante - Mars/Avril 2019 - Le Crès/Montpellier (FR)

Tournfluss - Juin 2019 - Bruxelles (BE)

Géographie de femme - Mars et juillet 2020 - Waterloo (BE)

Libres contours, aspects du territoire - Septembre 2020 - Abattoirs de Bomel, Centre Culturel de Namur

©2023  Mélanie Patris – Tous droits réservés — All rights reserved.                                                                                                                                                                 melaniepatris@hotmail.com

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